La Maison des forestibles de l’Abbaye est située sur les terres de l’Abbaye Val Notre-Dame à St-Jean-de-Matha, dans le piedmont lanaudois. Elle est à la fois un lieu de travail pour les employés qui entretiennent les cultures émergentes et cueillent les produits forestiers non ligneux (PFNL), aussi appelés produits forestiers comestibles ou forestibles, et un lieu d’enseignement où des formateurs passionnés transmettent leurs savoirs en lien avec les PFNL et les cultures émergentes. On y offre des ateliers sur la cueillette de champignons sauvages, de plantes comestibles, ou médicinales, des formations sur la culture de noix nordiques, les cultures émergentes, des ateliers pour cuisiner les forestibles, et bien plus.
Mais quel est le lien entre les forestibles et une communauté de moines, vous demandez-vous? L’histoire est un peu longue et commence à la fin des années 1800…
La communauté de moines cisterciens de l’Abbaye Val Notre-Dame, n’a pas toujours habité à Saint-Jean-de-Matha. Elle n’y réside que depuis 2009. Autrefois, la communauté était localisée à la Trappe d’Oka, et ce, depuis 1881. L’agriculture a occupé une grande place à la Trappe d’Oka et a marqué l’histoire du Québec avec, bien sûr, le fameux fromage Oka, mais aussi la poule Chanteclerc et le melon d’Oka, sans compter la culture des pommiers et l’Institut agricole d’Oka. Un de moines d’Oka, frère Louis-Marie Lalonde, a publié le premier herbier de la flore québécoise, quatre ans avant la Flore laurentienne de Marie-Victorin, et a été le premier docteur en biologie d’origine québécoise diplômé de Harvard. II a également été à l’origine de la vocation scientifique du célèbre astronome Hubert Reeves.
La Maison des forestibles de l’Abbaye est située sur les terres de l’Abbaye Val Notre-Dame à St-Jean-de-Matha, dans le piedmont lanaudois. Elle est à la fois un lieu de travail pour les employés qui entretiennent les cultures émergentes et cueillent les produits forestiers non ligneux (PFNL), aussi appelés produits forestiers comestibles ou forestibles, et un lieu d’enseignement où des formateurs passionnés transmettent leurs savoirs en lien avec les PFNL et les cultures émergentes. On y offre des ateliers sur la cueillette de champignons sauvages, de plantes comestibles, ou médicinales, des formations sur la culture de noix nordiques, les cultures émergentes, des ateliers pour cuisiner les forestibles, et bien plus.
En déménageant à St-Jean-de-Matha, les moines sont passés d’un milieu agricole à un milieu forestier. Dès lors, certains moines se sont intéressés à la vie qui cohabitait avec eux dans cette forêt. Il y ont vu les suspects habituels : chevreuils, ours, marmottes, porc-épic, et autres mammifères. Dans le ciel, leurs regards ont croisé des urubus, des faucons pèlerins, des hirondelles bicolores et de nombreux autres oiseaux. Mais ce sont des créatures intrigantes et humbles qui ont retenu leur attention au fil de leurs promenades : des champignons inconnus aussi nombreux que variés, aux formes étranges et aux multiples couleurs, qui apparaissaient et disparaissaient sans qu’on comprenne pourquoi, ni d’où ils venaient. Ainsi est né l’intérêt de la communauté du Val Notre-Dame pour les produits forestiers comestibles. Un intérêt qui n’a cessé de grandir. André Barbeau, père abbé de la communauté jusqu’en mars 2024, a toujours cru au potentiel des PFNL. Il a approuvé et accompagné les divers projets en lien avec les forestibles au fil des ans. Sans sa vision éclairée, il n’y aurait pas eu un tel développement des forestibles à l’Abbaye. Père Clément Charbonneau a pris la relève à la tête de l’Abbaye en avril 2024 et appui aussi le développement des produits forestiers comestibles.
On retrouve maintenant, sur le site de l’Abbaye, un petit verger en permaculture, rassemblant plus de 35 espèces comestibles, dont les productions sont en partie données aux cuisiniers du Monastère ou transformées pour être vendues au Magasin de l’Abbaye ou cuisinées lors d’ateliers culinaires. Des plantations peu communes ont vu le jour dans les champs, notamment celles des fleurs de monarde, poivre des dunes, aronie noire et d’arbres à noix. Des coins de forêt ont été jardinés pour y faire pousser des têtes de violon ou des champignons. Tout cela a contribué à augmenter la biodiversité du site et faire connaître les richesses de nos forêts.
En 2023, la découverte d’une partie de forêt remplie de pommiers sauvages a été l’occasion d’un nouveau projet visant à transformer cette forêt dense en verger de pommiers sauvages. Emmanuel Beauregard, voisin de rivière avec l’Abbaye et surtout spécialiste des pommes sauvages, est à l’origine de la découverte de cette forêt et participe aux travaux pour la rendre plus productive. Des idées pour la transformation des pommes sauvages sont déjà élaborées à la Maison des forestibles. Bref, le travail et les projets ne manquent pas pour l’avenir!
Mais quel est le lien entre les forestibles et une communauté de moines, vous demandez-vous? L’histoire est un peu longue et commence à la fin des années 1800…
La communauté de moines cisterciens de l’Abbaye Val Notre-Dame, n’a pas toujours habité à Saint-Jean-de-Matha. Elle n’y réside que depuis 2009. Autrefois, la communauté était localisée à la Trappe d’Oka, et ce, depuis 1881. L’agriculture a occupé une grande place à la Trappe d’Oka et a marqué l’histoire du Québec avec, bien sûr, le fameux fromage Oka, mais aussi la poule Chanteclerc et le melon d’Oka, sans compter la culture des pommiers et l’Institut agricole d’Oka. Un de moines d’Oka, frère Louis-Marie Lalonde, a publié le premier herbier de la flore québécoise, quatre ans avant la Flore laurentienne de Marie-Victorin, et a été le premier docteur en biologie d’origine québécoise diplômé de Harvard. II a également été à l’origine de la vocation scientifique du célèbre astronome Hubert Reeves.
En choisissant de valoriser les forestibles le moines de l’Abbaye Val Notre-Dame se sont rapproché – et ce sans vraiment le réaliser au départ – des activités qui avaient cours dans les premières Abbaye de leur ordre, il y a plus de 925 ans ! Les monastères avaient jadis des jardins des simples. C’est ainsi que l’on nommait à l’époque les plantes aromatiques et médicinales : des simples ou des plantes officinales. La culture de celles-ci et la cueillette de plantes sauvages étaient la base de la médecine monastique. À cela il faut ajouter la fabrication d’alcools à partir de macérations de plantes médicinales, telles la Bénédictine ou la Chartreuse.
À partir de 2014, les moines ont commencé à développer les forestibles avec François Patenaude, engagé à titre de cueilleur de PFNL et qui est devenu au fil des ans Coordonateur des forestibles et responsable de la Maison des forestibles de l’Abbaye.
Jonathan Bordeleau, horticulteur et propriétaire de la Pépiniere Bordeleau, s’est joint à l’équipe en 2015 et veille, depuis, à la bonne santé des cultures. C’est lui et François Patenaude qui ont mis en place, au fil des ans, l’ensemble des cultures qu’on retrouve sur les terres de l’Abbaye. Avec le temps, les produits forestiers comestibles ont pris de plus en plus de place sur les tablettes du Magasin de l’Abbaye et l’équipe de la Maison des forestibles a pris de l’ampleur.
La Maison des Forestibles de l’Abbaye a pour mission de faire découvrir les produits comestibles forestiers au plus grand nombre par le biais de formations théoriques, de sorties terrains et d’ateliers pratiques. Au-delà de l’identification et de la cueillette des forestibles nous souhaitons également faire découvrir comment les utiliser en cuisine, car après tout, la finalité de la cueillette c’est qu’elle se retrouve dans l’assiette.
La Maison des Forestibles de l’Abbaye a également pour mission de favoriser l’auto-production alimentaire en offrant des formations sur le jardinage et la culture de comestibles en climat nordique.
Nous expérimentons également sur le site de l’Abbaye diverses cultures et méthodes, toujours à échelle humaine, pour participer à l’agriculture de demain.
La Maison des forestibles de l’Abbaye est située sur les terres de l’Abbaye Val Notre-Dame à St-Jean-de-Matha, dans le piedmont lanaudois. Elle est à la fois un lieu de travail pour les employés qui entretiennent les cultures émergentes et cueillent les produits forestiers non ligneux (PFNL), aussi appelés produits forestiers comestibles ou forestibles, et un lieu d’enseignement où des formateurs passionnés transmettent leurs savoirs en lien avec les PFNL et les cultures émergentes. On y offre des ateliers sur la cueillette de champignons sauvages, de plantes comestibles, ou médicinales, des formations sur la culture de noix nordiques, les cultures émergentes, des ateliers pour cuisiner les forestibles, et bien plus.
Mais quel est le lien entre les forestibles et une communauté de moines, vous demandez-vous? L’histoire est un peu longue et commence à la fin des années 1800…
La communauté de moines cisterciens de l’Abbaye Val Notre-Dame, n’a pas toujours habité à Saint-Jean-de-Matha. Elle n’y réside que depuis 2009. Autrefois, la communauté était localisée à la Trappe d’Oka, et ce, depuis 1881. L’agriculture a occupé une grande place à la Trappe d’Oka et a marqué l’histoire du Québec avec, bien sûr, le fameux fromage Oka, mais aussi la poule Chanteclerc et le melon d’Oka, sans compter la culture des pommiers et l’Institut agricole d’Oka. Un de moines d’Oka, frère Louis-Marie Lalonde, a publié le premier herbier de la flore québécoise, quatre ans avant la Flore laurentienne de Marie-Victorin, et a été le premier docteur en biologie d’origine québécoise diplômé de Harvard. II a également été à l’origine de la vocation scientifique du célèbre astronome Hubert Reeves.
En déménageant à St-Jean-de-Matha, les moines sont passés d’un milieu agricole à un milieu forestier. Dès lors, certains moines se sont intéressés à la vie qui cohabitait avec eux dans cette forêt. Il y ont vu les suspects habituels : chevreuils, ours, marmottes, porc-épic, et autres mammifères. Dans le ciel, leurs regards ont croisé des urubus, des faucons pèlerins, des hirondelles bicolores et de nombreux autres oiseaux. Mais ce sont des créatures intrigantes et humbles qui ont retenu leur attention au fil de leurs promenades : des champignons inconnus aussi nombreux que variés, aux formes étranges et aux multiples couleurs, qui apparaissaient et disparaissaient sans qu’on comprenne pourquoi, ni d’où ils venaient. Ainsi est né l’intérêt de la communauté du Val Notre-Dame pour les produits forestiers comestibles. Un intérêt qui n’a cessé de grandir. André Barbeau, père abbé de la communauté jusqu’en mars 2024, a toujours cru au potentiel des PFNL. Il a approuvé et accompagné les divers projets en lien avec les forestibles au fil des ans. Sans sa vision éclairée, il n’y aurait pas eu un tel développement des forestibles à l’Abbaye. Père Clément Charbonneau a pris la relève à la tête de l’Abbaye en avril 2024 et appui aussi le développement des produits forestiers comestibles.
En choisissant de valoriser les forestibles le moines de l’Abbaye Val Notre-Dame se sont rapproché – et ce sans vraiment le réaliser au départ – des activités qui avaient cours dans les premières Abbaye de leur ordre, il y a plus de 925 ans ! Les monastères avaient jadis des jardins des simples. C’est ainsi que l’on nommait à l’époque les plantes aromatiques et médicinales : des simples ou des plantes officinales. La culture de celles-ci et la cueillette de plantes sauvages étaient la base de la médecine monastique. À cela il faut ajouter la fabrication d’alcools à partir de macérations de plantes médicinales, telles la Bénédictine ou la Chartreuse.
À partir de 2014, les moines ont commencé à développer les forestibles avec François Patenaude, engagé à titre de cueilleur de PFNL et qui est devenu au fil des ans Coordonateur des forestibles et responsable de la Maison des forestibles de l’Abbaye.
Jonathan Bordeleau, horticulteur et propriétaire de la Pépiniere Bordeleau, s’est joint à l’équipe en 2015 et veille, depuis, à la bonne santé des cultures. C’est lui et François Patenaude qui ont mis en place, au fil des ans, l’ensemble des cultures qu’on retrouve sur les terres de l’Abbaye. Avec le temps, les produits forestiers comestibles ont pris de plus en plus de place sur les tablettes du Magasin de l’Abbaye et l’équipe de la Maison des forestibles a pris de l’ampleur.
On retrouve maintenant, sur le site de l’Abbaye, un petit verger en permaculture, rassemblant plus de 35 espèces comestibles, dont les productions sont en partie données aux cuisiniers du Monastère ou transformées pour être vendues au Magasin de l’Abbaye ou cuisinées lors d’ateliers culinaires. Des plantations peu communes ont vu le jour dans les champs, notamment celles des fleurs de monarde, poivre des dunes, aronie noire et d’arbres à noix. Des coins de forêt ont été jardinés pour y faire pousser des têtes de violon ou des champignons. Tout cela a contribué à augmenter la biodiversité du site et faire connaître les richesses de nos forêts.
En 2023, la découverte d’une partie de forêt remplie de pommiers sauvages a été l’occasion d’un nouveau projet visant à transformer cette forêt dense en verger de pommiers sauvages. Emmanuel Beauregard, voisin de rivière avec l’Abbaye et surtout spécialiste des pommes sauvages, est à l’origine de la découverte de cette forêt et participe aux travaux pour la rendre plus productive. Des idées pour la transformation des pommes sauvages sont déjà élaborées à la Maison des forestibles. Bref, le travail et les projets ne manquent pas pour l’avenir!
La Maison des Forestibles de l’Abbaye a pour mission de faire découvrir les produits comestibles forestiers au plus grand nombre par le biais de formations théoriques, de sorties terrains et d’ateliers pratiques. Au-delà de l’identification et de la cueillette des forestibles nous souhaitons également faire découvrir comment les utiliser en cuisine, car après tout, la finalité de la cueillette c’est qu’elle se retrouve dans l’assiette.
La Maison des Forestibles de l’Abbaye a également pour mission de favoriser l’auto-production alimentaire en offrant des formations sur le jardinage et la culture de comestibles en climat nordique.
Nous expérimentons également sur le site de l’Abbaye diverses cultures et méthodes, toujours à échelle humaine, pour participer à l’agriculture de demain.
En déménageant à St-Jean-de-Matha, les moines sont passés d’un milieu agricole à un milieu forestier. Dès lors, certains moines se sont intéressés à la vie qui cohabitait avec eux dans cette forêt. Il y ont vu les suspects habituels : chevreuils, ours, marmottes, porc-épic, et autres mammifères. Dans le ciel, leurs regards ont croisé des urubus, des faucons pèlerins, des hirondelles bicolores et de nombreux autres oiseaux. Mais ce sont des créatures intrigantes et humbles qui ont retenu leur attention au fil de leurs promenades : des champignons inconnus aussi nombreux que variés, aux formes étranges et aux multiples couleurs, qui apparaissaient et disparaissaient sans qu’on comprenne pourquoi, ni d’où ils venaient. Ainsi est né l’intérêt de la communauté du Val Notre-Dame pour les produits forestiers comestibles. Un intérêt qui n’a cessé de grandir. André Barbeau, père abbé de la communauté jusqu’en mars 2024, a toujours cru au potentiel des PFNL. Il a approuvé et accompagné les divers projets en lien avec les forestibles au fil des ans. Sans sa vision éclairée, il n’y aurait pas eu un tel développement des forestibles à l’Abbaye. Père Clément Charbonneau a pris la relève à la tête de l’Abbaye en avril 2024 et appui aussi le développement des produits forestiers comestibles.
En choisissant de valoriser les forestibles le moines de l’Abbaye Val Notre-Dame se sont rapproché – et ce sans vraiment le réaliser au départ – des activités qui avaient cours dans les premières Abbaye de leur ordre, il y a plus de 925 ans ! Les monastères avaient jadis des jardins des simples. C’est ainsi que l’on nommait à l’époque les plantes aromatiques et médicinales : des simples ou des plantes officinales. La culture de celles-ci et la cueillette de plantes sauvages étaient la base de la médecine monastique. À cela il faut ajouter la fabrication d’alcools à partir de macérations de plantes médicinales, telles la Bénédictine ou la Chartreuse.
À partir de 2014, les moines ont commencé à développer les forestibles avec François Patenaude, engagé à titre de cueilleur de PFNL et qui est devenu au fil des ans Coordonateur des forestibles et responsable de la Maison des forestibles de l’Abbaye.
Jonathan Bordeleau, horticulteur et propriétaire de la Pépiniere Bordeleau, s’est joint à l’équipe en 2015 et veille, depuis, à la bonne santé des cultures. C’est lui et François Patenaude qui ont mis en place, au fil des ans, l’ensemble des cultures qu’on retrouve sur les terres de l’Abbaye. Avec le temps, les produits forestiers comestibles ont pris de plus en plus de place sur les tablettes du Magasin de l’Abbaye et l’équipe de la Maison des forestibles a pris de l’ampleur.
On retrouve maintenant, sur le site de l’Abbaye, un petit verger en permaculture, rassemblant plus de 35 espèces comestibles, dont les productions sont en partie données aux cuisiniers du Monastère ou transformées pour être vendues au Magasin de l’Abbaye ou cuisinées lors d’ateliers culinaires. Des plantations peu communes ont vu le jour dans les champs, notamment celles des fleurs de monarde, poivre des dunes, aronie noire et d’arbres à noix. Des coins de forêt ont été jardinés pour y faire pousser des têtes de violon ou des champignons. Tout cela a contribué à augmenter la biodiversité du site et faire connaître les richesses de nos forêts.
En 2023, la découverte d’une partie de forêt remplie de pommiers sauvages a été l’occasion d’un nouveau projet visant à transformer cette forêt dense en verger de pommiers sauvages. Emmanuel Beauregard, voisin de rivière avec l’Abbaye et surtout spécialiste des pommes sauvages, est à l’origine de la découverte de cette forêt et participe aux travaux pour la rendre plus productive. Des idées pour la transformation des pommes sauvages sont déjà élaborées à la Maison des forestibles. Bref, le travail et les projets ne manquent pas pour l’avenir!
La Maison des Forestibles de l’Abbaye a pour mission de faire découvrir les produits comestibles forestiers au plus grand nombre par le biais de formations théoriques, de sorties terrains et d’ateliers pratiques. Au-delà de l’identification et de la cueillette des forestibles nous souhaitons également faire découvrir comment les utiliser en cuisine, car après tout, la finalité de la cueillette c’est qu’elle se retrouve dans l’assiette.
La Maison des Forestibles de l’Abbaye a également pour mission de favoriser l’auto-production alimentaire en offrant des formations sur le jardinage et la culture de comestibles en climat nordique.
Nous expérimentons également sur le site de l’Abbaye diverses cultures et méthodes, toujours à échelle humaine, pour participer à l’agriculture de demain.
Le respect des écosystèmes est fondamental pour les cueilleurs responsables. Sans écosystèmes en santé, pas de cueillette à long terme. Un bon cueilleur est donc une personne conscientisée et respectueuse de l’environnement. Lors de nos formations nous voulons non seulement faire connaître les forestibles au grand public, mais aussi sensibiliser les participants à l’importance de préserver les forêts et les milieux naturels. Nous croyons qu’en identifiant les plantes et leurs usages nous contribuons à rendre un peu plus concrète la complexité de nos forêts et l’importance de les préserver.
Cueillir sans nuire, c’est ainsi que nous voyons notre travail. Nous effectuons nos cueillettes en fonction de la pérennité des espèces et de la préservation des écosystèmes. La Maison des forestibles de l’Abbaye adhère à la Charte des valeurs du Comité PFNL de Lanaudière.
Les forestibles ont été consommés pendant des siècles par les humains, mais la chaîne de transmission du savoir a été rompue, si bien qu’aujourd’hui le geste de cueillir des plantes ou des champignons sauvages passe pour étrange et anachronique.
Nous considérons qu’il est important de ne pas perdre ces savoirs et de garder vivants les gestes anciens effectués par des millions d’êtres humains avant nous. Savoir identifier les plantes et les champignons sauvages c’est se réapproprier le pouvoir de cueillir une partie du contenu de notre assiette et interagir avec notre environnement naturel. Cueillir des forestibles c’est garder un pied dans le passé, certes, mais c’est aussi se projeter vers l’avenir et découvrir des saveurs nouvelles.
Le respect des écosystèmes est fondamental pour les cueilleurs responsables. Sans écosystèmes en santé, pas de cueillette à long terme. Un bon cueilleur est donc une personne conscientisée et respectueuse de l’environnement. Lors de nos formations nous voulons non seulement faire connaître les forestibles au grand public, mais aussi sensibiliser les participants à l’importance de préserver les forêts et les milieux naturels. Nous croyons qu’en identifiant les plantes et leurs usages nous contribuons à rendre un peu plus concrète la complexité de nos forêts et l’importance de les préserver.
Les forestibles ont été consommés pendant des siècles par les humains, mais la chaîne de transmission du savoir a été rompue, si bien qu’aujourd’hui le geste de cueillir des plantes ou des champignons sauvages passe pour étrange et anachronique.
Nous considérons qu’il est important de ne pas perdre ces savoirs et de garder vivants les gestes anciens effectués par des millions d’êtres humains avant nous. Savoir identifier les plantes et les champignons sauvages c’est se réapproprier le pouvoir de cueillir une partie du contenu de notre assiette et interagir avec notre environnement naturel. Cueillir des forestibles c’est garder un pied dans le passé, certes, mais c’est aussi se projeter vers l’avenir et découvrir des saveurs nouvelles.
Le respect des écosystèmes est fondamental pour les cueilleurs responsables. Sans écosystèmes en santé, pas de cueillette à long terme. Un bon cueilleur est donc une personne conscientisée et respectueuse de l’environnement. Lors de nos formations nous voulons non seulement faire connaître les forestibles au grand public, mais aussi sensibiliser les participants à l’importance de préserver les forêts et les milieux naturels. Nous croyons qu’en identifiant les plantes et leurs usages nous contribuons à rendre un peu plus concrète la complexité de nos forêts et l’importance de les préserver.
Les forestibles ont été consommés pendant des siècles par les humains, mais la chaîne de transmission du savoir a été rompue, si bien qu’aujourd’hui le geste de cueillir des plantes ou des champignons sauvages passe pour étrange et anachronique.
Nous considérons qu’il est important de ne pas perdre ces savoirs et de garder vivants les gestes anciens effectués par des millions d’êtres humains avant nous. Savoir identifier les plantes et les champignons sauvages c’est se réapproprier le pouvoir de cueillir une partie du contenu de notre assiette et interagir avec notre environnement naturel. Cueillir des forestibles c’est garder un pied dans le passé, certes, mais c’est aussi se projeter vers l’avenir et découvrir des saveurs nouvelles.
Inscrivez-vous dès maintenant pour ne rien manquer de nos prochaines activités. En vous abonnant, vous serez informés en avant-première dès que de nouvelles dates seront annoncées. Ne ratez pas l’occasion de participer à nos événements exclusifs !
Merci à tous pour votre participation et votre enthousiasme tout au long de la saison!
Nous avons hâte de vous retrouver pour la nouvelle saison 2025. Revenez nous voir dès janvier 2025 pour découvrir notre programme et réserver vos places pour nos activités et événements. En attendant, profitez de l’hiver pour vous reposer et vous préparer pour une année encore plus excitante !
𝗔𝘂𝘁𝗼-𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗱❜𝗔𝗿𝗼𝗻𝗶𝗲𝘀
Nouvelle activité
𝗔𝘂𝘁𝗼-𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗱❜𝗔𝗿𝗼𝗻𝗶𝗲𝘀
Venez découvrir et cueillir l’aronie, un petit fruit émergent, parmi les plus nutritifs!
Ne manquez pas cette occasion unique de goûter et ramasser ce fruits frais tout en profitant de l’atmosphère paisible de l’Abbaye!
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